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Les Eoliennes, l'environnement et agriculture

Eoliennes : une escroquerie verte organisée

J’ai 35 ans et je suis agricultrice bio en Auvergne. Il y a deux ans, j’ai été contactée par une entreprise privée qui avait pour projet d’installer un parc d’éoliennes dans ma commune.

Témoignage de Murielle et Didier Potiron, éleveurs à Puceul, 44

Nous possédons une exploitation de 350 bêtes sur 135 hectares. Nous avons un atelier lait, en race normande, et des vaches charolaises pour la viande.

En 2006, un promoteur éolien est venu nous proposer de louer une partie de nos terres pour y installer des éoliennes. Comme à l’époque on disait avant tout que c’était écologique et sans danger, on a accepté sans hésiter d’en prendre une, et ça nous faisait un revenu complémentaire. Autour de notre ferme, on se retrouve au total avec un parc de 8 éoliennes de 150 mètres de haut dont 6 sont à 720 mètres de notre habitation, les deux autres à environ 1 km.
On s’attendait peut-être à un peu de bruit, ou à ce que ça ne fasse pas très joli dans le paysage, mais on ne s’attendait pas perdre 50 bêtes par an, depuis que les éoliennes sont là.

Implanter un site éolien suppose, cela va de soi, que l’on dispose d’un terrain sur lequel ces monstres géants seront érigés. Comme les promoteurs ont bien compris qu’on ne pouvait les installer au cœur de nos villages, ces terrains sont donc, dans la très grande majorité des cas, des terrains agricoles.


Il se trouve que de nombreux propriétaires et fermiers donnent volontiers leur accord. On peut légitimement se demander ce qui motive cette autorisation.

Une étude polonaise, validée par la communauté scientifique (“The Effect of Varying Distances from the Wind Turbine on Meat Quality of Growing-Finishing Pigs”, Karwowska.M. & al,) vient d’établir la corrélation entre la qualité de la viande de porcs et la distance qui les séparait d’éoliennes lors de leur engraissement.

especes protegesLes éoliennes pourraient constituer pour les chauves-souris un danger mortel, car si elles savent bien les éviter, elles peuvent être frappées par un barotraumatisme, c'est-à-dire un choc provoqué par la baisse brutale de la pression de l'air au voisinage des pales dont la vitesse dépasse, à leur extrémité, 200 km/h. Mais selon d'autres, cela ne pose pas de problème puisque les chauves-souris ne volent pas par grand vent. Des chercheurs conseillent que la vitesse de vent déclenchant le démarrage des pales soit de 5,5 m/s (19,8 km/h).

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