Les éoliennes pourraient constituer pour les chauves-souris un danger mortel, car si elles savent bien les éviter, elles peuvent être frappées par un barotraumatisme, c'est-à-dire un choc provoqué par la baisse brutale de la pression de l'air au voisinage des pales dont la vitesse dépasse, à leur extrémité, 200 km/h. Mais selon d'autres, cela ne pose pas de problème puisque les chauves-souris ne volent pas par grand vent. Des chercheurs conseillent que la vitesse de vent déclenchant le démarrage des pales soit de 5,5 m/s (19,8 km/h).
Les éoliennes sont aussi suspectées de tuer de nombreux oiseaux, notamment des espèces protégées.
Les incidences mondiales de mortalité massive chez les animaux d'élevage, les poules pondant des œufs à coques molles, les taux élevés d'avortements chez les animaux et la disparition de la faune près des turbines fournissent une pause pour la réflexion.
"Peu importe comment on se sent sur les éoliennes, personne ne doit tolérer la corruption, la fraude silencieuse, et les études fausses soutenir cette industrie.
Je ne peux insister assez sur ce point. De ce que j'ai vu de regarder les études de mortalité d'oiseaux et de chauves-souris d'industrie de vent, cette industrie et nos agences de faune sont tellement corrompues qu'ils pourraient aussi bien vendre des voitures d'occasion avec leurs odomètres retournés au moins 90%"
Jim Wiegand, biologiste de la faune